Retraite : comment ce système injuste vous vole votre liberté
Introduction : le mirage de la retraite
Quand on parle de retraite aujourd’hui, on vous vend un rêve : finir vos jours en toute tranquillité. Mais à mesure que les réformes se succèdent (1993 Balladur, 2003 Fillon, 2010 Wörth, 2014 Touraine, 2023 Borne…), ce rêve se transforme en mirage. À l’heure où l’on évoque déjà une nouvelle réforme, on doit s’interroger : est-ce vraiment encore un système juste ? Ou un engrenage qui coûte votre liberté, vous réduisant à un simple numéro dans un système qui vous vole votre argent et vos choix ?
1. Solidarité ou racket ?
La solidarité intergénérationnelle est souvent mise en avant : vous cotisez pour les retraités, un échange équitable. Mais attendez… si on vous vole un portefeuille entier pour en donner le contenu aux plus démunis, l’appelleriez-vous « solidarité » ? Non, c’est du vol, un prélèvement obligatoire, sans consentement.
Comment parler de solidarité quand l’actif d’aujourd’hui n’a jamais consenti ? On lui impose un contrat qu’il ne choisit pas. Tout cela ressemble plutôt à un enrôlement forcé, pas un geste humain ou volontaire.
2. Uniformisation coercitive : l’État vous impose un moule
Pourquoi imposer un modèle unique ? Immobilier, enfants, entreprendre… tout est freiné. À chaque salaire, une part considérable est prélevée : certes pour la retraite, le reste disparaît.
Ton point provocateur : « On adore nos régimes spéciaux… alors pourquoi pas 66 millions de régimes, un par Français ?! » Imposer une taille unique, comme des chaussures numéro 41, méprise l’individu. Et la liberté ? Elle en prend aussi un coup.
3. L’Europe veut nous faire bosser jusqu’à 70 ans
La tendance est claire, comme au Danemark : la retraite passera à 70 ans d’ici 2040 (Source en anglais)
L’OCDE prédit que nombre de pays européens devront grimper à 67, 68 ou 70 ans voire plus Forbes. En France, la pression monte : 62 vs un âge en bonne santé vers 62 ans pour les hommes, 64 pour les femmes Insee.
🔺 Provoc’ : Imaginez travailler péniblement en santé dégradée, boire un café vite fait avant la pause pipi, pour juste ne pas mourir au bureau. C’est absurde.
4. Santé, vieillissement et souffrance au travail
À 65 ans, un homme peut espérer vivre encore 10,5 ans en bonne santé, une femme 12 ans.
C’est ce qu’on appelle l’espérance de vie sans incapacité – les années qu’il vous reste sans limitations majeures du quotidien.
Mais si on repousse la retraite à 70 ans, que reste-t-il à ceux qui exercent des métiers pénibles – ouvriers, aides-soignants, agents d’entretien ?
🛑 Travailler jusqu’à l’épuisement, juste pour cotiser un peu plus, pendant que l’État encaisse… est-ce vraiment ça, l’équilibre social ?
5. Cotiser pour un inconnu : le « premier arrivant » gagne tout
Ton exemple du SMIC est frappant : 3 000 € net paieraient 1 225 € de retraite, 703 € de sécu. Il faudrait presque cinq smicards pour financer une seule retraite à 3 000 € net.
➡️ Toi, tu bosses, tu cotises des années, et si tu décèdes juste avant la retraite, tu perds tout.
⚠️ C’est la roulette des retraites : tu peux cotiser 40 ans pour rien. L’analogie des bons points à l’école : un cadeau offert au premier, et basta.
6. Un héritage impossible
En cas de décès avant la retraite, vos cotisations partent dans un néant pur. Pas de capital transmis.
En capitalisation, même en cas de décès, l’actif est transmis. Vos efforts ne disparaissent pas.
👉 Y répondre n’est pas seulement une question d’argent : c’est une question de justice intergénérationnelle.
7. Héritage moral douteux : un système né sous Pétain ?
L’origine du système répartition remonte à la législation sociale autoritaire de Vichy, mêlant solidarité obligatoire et coercition étatique.
Un système fondé sur le pétainisme, avant de devenir symbole du progrès social, mérite un sacré examen moral.
8. Droit de propriété vs confiscation
Votre salaire ? Votre fruit du travail ? L’État prélève jusqu’à ~28 % sans consentement et sans vous donner aucun contrôle sur l’argent. C’est une extorsion de fonds en bande organisée.
Coase : un contrat sur le marché est libre, consentant. Ici, pas de contrat, pas de consentement.
📣 Provoc’ : « La mafia a un code d’honneur, l’État, lui, prélève dans votre compte et vous ignore. »
9. Capitalisation : vers une retraite libératrice
Capitalisation = choix, propriété, transmission. Vos épargnes sont investies (actions, obligations, or, Bitcoin…), vous construisez un patrimoine.
La solidarité volontaire existe aussi, via fonds et mécanismes de redistribution, mais libre, visible, et choisi.
Pas de mélange opaque : vous investissez, vous récoltez.
10. Agissez dès maintenant : protégez-vous
Tu nous dis : or, Bitcoin, immobilier, placements, exil fiscal, optimisation.
Voici des premières pistes pour commencer dès aujourd’hui :
- Diversification : ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier
- Plateformes d’investissement : actions/obligations accessibles en ligne
- Actifs refuges : or, crypto comme Bitcoin
- Expatriation et optimisation fiscale : profiter de plus de liberté juridique
- Constitution d’immobilier : un revenu passif, c’est une liberté supplémentaire
Conclusion éditoriale : réveillez-vous et prenez votre avenir en main
Le système par répartition a volé votre liberté et votre dignité. Vous avez travaillé pour d’autres… et l’État vous vole encore.
Mais ce n’est pas une fatalité. Vous pouvez choisir de préparer autrement, avec transparence, équité, et respect de votre personne.
🎯 Provoc’ finale : ne soyez pas le mouton docile. Commencez aujourd’hui : investissez, diversifiez, informez-vous. Votre avenir, vous devez le prendre !